L'entretien de la Roseraie Princesse Grace

Toutes les opérations d’entretien mises en oeuvre par la Direction de l’Aménagement Urbain se veulent les plus écologiques possibles :

  • Absence de tout produit phytosanitaire issu de l’industrie chimique. Utilisation d’auxiliaires (coccinelles, syrphes…) pour lutter contre les attaques parasitaires;
  • Utilisation de fongicide naturel (bicarbonate de soude, de potassium…) pour lutter
    contre les maladies cryptogamiques;
  • Emploi d’herbicide naturel (acide acétique, extrait de thuya….) ;
  • Fertilisation à partir de produits utilisés en agriculture biologique (ANTYS, OSYRIL, SOLESIA….) et d’extraits de végétaux (purins d’ortie, de coussoude….) ;
  • Limitation des besoins en eau par utilisation de paillage à base de compost de lin ;
  • Récupération, stockage et réutilisation en arrosage des eaux de surface, en arrosage localisé enterré;
  • Utilisation d’équipements, d’appareils et matériels électriques ou à batteries ;
  • Traitement des eaux des fontaines par lampes UV et incorporation d’eau oxygénée concentrée.

Cette nouvelle roseraie se veut également être un espace de vulgarisation, de nombreuses activités et manifestations auront lieu sur ce site :

  • Participation des écoles de la Principauté pour des séances de vulgarisation sur le développement durable;
  • Accueil et encadrement de groupes d’étudiants lors de voyages d’études réalisés par des écoles horticoles internationales (France, Suisse, Belgique…) ;
  • Visites guidées lors de manifestations comme les Journées Européennes du Patrimoine ;
  • Cours de taille destinés aux diverses associations;
  • Tous les deux ans, Concours International de la Rose de Monaco.

Ecocert®

L’ensemble de ces méthodes et activités permettra, comme cela est déjà le cas dans d’autres jardins de la Principauté, de solliciter la labellisation de la Roseraie Princesse Grace en Espace Végétal Ecologique (EVE), label décerné par un organisme international Ecocert Environnement.

La procédure de labellisation débutera en novembre 2014, date du premier audit réalisé par l’organisme certificateur.